Du contrôle à l’adaptabilité.De la technique à la relation.Du mental à l’action.

J’ai longtemps cru qu’il fallait tout comprendre, tout maîtriser.
J’ai appris à lire les dynamiques derrière les comportements, à écouter au-delà des mots.

Voir un expert que je considérais comme intouchable, se tromper, a été un tournant. J’ai compris que c’est dans l’imperfection que naît la vraie relation.
Dans les sports de combat, notamment le Systema, j’ai découvert que c’est l’accueil du coup, de la crise, qui ouvre de nouvelles options.
En cabinet, en entreprise, ou en supervision, j’ai vu que c’est toujours la vulnérabilité qui crée la bascule. C’est là que l’on passe du figé au vivant.

Ce en quoi je crois.

  • La relation avant la technique.
  • L’observation avant l’explication.
  • L’adaptabilité comme vraie force.
  • La clarté comme premier levier de changement.

Ce que je refuse.

  • Les solutions prêtes-à-porter, les recettes magiques.
  • La rigidité des protocoles qui figent la relation.
  • Les postures de “gourou” ou de “sachant absolu”.

Ce qui m’anime.

Créer des espaces où les blocages deviennent des leviers.
Aider chacun — particulier, équipe, accompagnant — à retrouver du souffle, de la clarté et de l’efficacité.
Faire émerger des solutions concrètes, sans détour ni folklore.
Accompagner vers plus de liberté, pas vers un modèle figé.